Guglielmo est italien. Après Rome, c’est à Paris qu’il a décidé de poser ses valises il y a deux ans. Il a découvert par hasard la société Motto et son offre d’abonnement flexible.
Naturellement sensible au développement de la mobilité durable, il ne pouvait qu’adhérer à la motivation de ses fondateurs à faire adopter la pratique du vélo électrique en ville !
Aujourd’hui Operations Associate, il gère l’ensemble de la flotte et remédie à tous les petits problèmes que vous pouvez rencontrer.
Comment es-tu arrivé chez Motto ?
Mon entrée chez Motto ? C’est vraiment un concours de circonstances.
J’étais en stage à Paris, j’avais envie de prolonger mon séjour et je cherchais un travail dans une start-up. Je désirais rejoindre une aventure, m’investir dans un projet en lequel je crois.
Je souhaitais intégrer une équipe dynamique et rassemblée autour d’un concept commun. Je voulais par ailleurs trouver une société qui permette des possibilités d’évolution assez rapides, avec un poste à responsabilité, pour m’épanouir entièrement dans le lancement d’une idée nouvelle.
Dans ce cadre, Motto m’a donné une petite mission à mi-temps : je devais promouvoir l’usage du vélo électrique dans les rues de Paris.
À ma grande surprise, j’ai vite constaté que le produit se vendait tout seul ! Si bien que j’ai finalement réalisé que j’avais dans les mains une offre très attractive et pleine de promesses.
Si je pouvais intéresser n’importe quel passant, voire parfois le convaincre de souscrire un abonnement, rien qu’en lui décrivant très rapidement les avantages de notre proposition, c’était bien la preuve qu’il s’agissait d’une bonne idée !
L’enjeu à présent est de savoir comment la mettre en avant pour la développer. J’ai commencé à discuter avec Antoine (cofondateur de Motto), puis j’ai passé des entretiens et finalement, j’ai rejoint l’aventure en mai l’année dernière. Presque un an déjà !
La mobilité douce, c’est mon Motto !
Paris, aujourd’hui ; Rome, peut-être demain
Je suis un passionné de la mobilité urbaine durable depuis quelque temps maintenant.
Sais-tu que Rome est la ville où le nombre de voitures par famille est le plus important en Italie ? Il y en a plus de 2 par famille, c’est l’agglomération la plus encombrée du pays. D’ailleurs, il n’y a pratiquement pas de métros, 2 lignes seulement. On est bien loin du réseau parisien !
Cela m’interpellait lorsque j’y vivais. À l’heure actuelle, je mène ailleurs ce combat afin de convaincre les gens à se déplacer différemment. Mais j’espère pouvoir potentiellement un jour apporter cette vision aussi chez moi.
De motard à Motto
J’ai roulé en deux-roues toute ma vie. À partir de l’âge de 14 ans, j’ai utilisé une moto pour me déplacer, jusqu’à mon arrivée à Paris. J’ai toujours fait du VTT en parallèle avec mon propre vélo, mais ce n’est que dans un cadre de loisirs, pas pour circuler en ville.
Depuis que je travaille chez Motto, terminée la moto !
Pour tous mes va-et-vient professionnels, j’enfourche dorénavant mon vélo électrique ! Le vélotaf est d’autant plus pratique si la distance est importante ou si je manque de temps.
Il m’arrive aussi de sauter sur mon skateboard pour plus de fun… Je profite alors des pistes cyclables d’une autre manière : les cyclistes sont plus conciliants que les piétons sur les trottoirs !
Mes déplacements dans Paris
Mes trajets préférés
Je n’emprunte pas forcément de trajet particulier au quotidien parce que j’habite près du bureau. Du coup, j’ai la chance de me déplacer dans le quartier du Marais, très agréable et toujours animé.
Je passe souvent par les quais. Quand je le peux, je longe d’ailleurs le quai de la Corse qui borde l’Hôtel-Dieu sur l’île de la Cité, et je poursuis jusqu’à la célèbre Place Dauphine.
C’est ma balade préférée ! Je trouve qu’il y a un côté magique à se retrouver ainsi au milieu de la Seine.
La promenade démarre avec la mythique cathédrale de Notre-Dame, puis je continue en suivant les rives jusqu’au plus ancien pont en pierre de Paris, le Pont-Neuf qui enjambe le fleuve. Arrivé à l’extrémité de l’île de la Cité, j’ai alors le choix de rejoindre la rive droite ou la rive gauche.
Peu importe l’option retenue, le cadre reste magnifique des deux côtés !
La piste que j’évite
Sans hésiter : le boulevard de Magenta ! Je ne peux pas dire que je ne l’aime pas… mais l’aménagement de cette piste sur le trottoir la rend dangereuse, pour les cyclistes comme pour les piétons. Elle n’est pas assez large et très fréquentée. Cela ne permet pas de circuler en sécurité, alors si je le peux, je l’évite !
Pour en savoir plus : suivez l’avancement des aménagements promis par la Ville de Paris avec l’Observatoire du plan vélo 2021-2026 de l’association Paris en Selle.
Mes conseils pour les cyclistes ?
La sécurité avant tout
Porter un casque est obligatoire. Les risques encourus sont multiples : chutes, collisions ou accrochages, voire des conséquences plus lourdes.
Avec le nombre croissant de cyclistes chaque année, la sécurité à vélo est maintenant un enjeu majeur. Je pense qu’une prise de conscience collective devient nécessaire pour limiter les incidents.
J’ai moi-même un casque, bien évidemment. L’avantage de louer un vélo électrique avec Motto, c’est que tous les accessoires utiles sont inclus dans le forfait et fournis avec votre véhicule :
- les éclairages (avant et arrière) ;
- la sonnette ;
- le cadenas ;
- une alarme antivol ;
- un traceur GPS.
Pour ma part, j’emporte toujours un sac à dos en complément. Il m’aide à gérer ma vie au quotidien en ayant en permanence mes petites affaires à proximité… Donc je ne m’en sépare jamais, pas même en vélo !
Pédaler par tous les temps
Je rêve de voir les gens privilégier le vélo comme moyen de transport, sans se soucier des conditions météorologiques.
Pour moi, le bon ou le mauvais temps n’existe pas. Il y a de bons et de mauvais équipements, il suffit de savoir s’équiper correctement. Il est toujours préférable de se rendre à son travail en vélo plutôt que de subir l’affluence dans le métro aux heures de pointe !
Pour parer à toutes les conditions, j’ai d’ailleurs constamment une tenue spéciale « mauvais temps » dans mon sac. Je perpétue mon ancienne habitude de motard, car, à l’époque, je me déplaçais par n’importe quel temps. Il est vrai que ma seule alternative était la marche, alors je n’avais pas le choix !
Convertir les gens à la mobilité douce : mon ambition chez Motto
Motto est, selon moi, une super option, car cela t’apporte de nombreux avantages :
- D’avoir un vélo de grande qualité dans les mains, un vélo sur lequel tu te sens bien et dont tu peux être très fier.
- De gagner énormément de temps dans ton quotidien en optimisant tes déplacements.
- De rouler l’esprit tranquille avec un pack complet comprenant une assurance contre le vol et la casse, ainsi que la prise en charge de l’entretien et des réparations.
- De bénéficier d’un centre d’assistance ultra efficace qui permet pour un tarif équivalent au métro, d’avoir l’esprit tranquille en cas de pépin.
Notre service dépannage vise une intervention dans un délai maximum de 48 h après appel du client. Et je peux confirmer que nous respectons cette promesse dans la grande majorité des cas !
Pourquoi parler de fierté de rouler avec Motto ? Parce que ce sont des vélos de marque française, très réussis esthétiquement en plus. Nous avons de belles ambitions et j’espère que tout cela résonne un petit peu aussi dans l’état d’esprit des utilisateurs qui viennent vers notre produit.
Motto, un réel produit d’avenir selon moi
Je pense que Motto représente aujourd’hui un compromis idéal. En effet, posséder son propre vélo engendre forcément des difficultés d’intendance et du stress : risque de crevaison, de voir ses freins desserrés au moment de partir, de vol en sortant du bureau, etc.
Motto répond à tout cela en apportant une solution globale, en combinant la simplicité et la facilité d’un free-floating, avec l’attention au détail et la qualité de prise en charge du B2C. Le concept est respectable et de qualité, il vise à inciter les Parisiens à développer une véritable culture vélo.
Il est vrai que la zone de service est seulement sur Paris et la première couronne actuellement. L’ampleur du marché parisien fait que nous nous concentrons sur la capitale pour le moment. L’enjeu est d’arriver un jour un peu partout.
L’idée d’apporter ma petite pierre à l’édifice du développement de la mobilité durable me séduit. Je suis heureux de pousser les gens à s’interroger sur leur manière de gérer leurs déplacements, et je le suis encore plus si j’arrive à les convaincre de changer leurs habitudes.